Pascal Blanchard : « L’interprétation est-elle sans fin ? »

Professeur en khâgne à Strasbourg, enseigne la philosophie générale en lycée et à l’université en vue de la préparation des concours. A consacré des études et des publications scolaires à Spinoza, à Bergson et à la phénoménologie d’inspiration française. Travaille actuellement sur l’œuvre de R. Ruyer, sur la philosophie de la fiction et sur les notions de puissance et de virtualité.

Ce contenu a été publié dans Individu, sujet, identité, institution, masse, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Merci de taper les caractères de l'image Captcha dans le champ

Please type the characters of this captcha image in the input box

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.