La question du sens de la vie est autant sempiternelle que réelle. Surtout lorsqu’on la pose aux inimaginables abominations et injustices de ce monde. Que faire ? Une réponse est de vivre quand même, et d’agir en vue du meilleur bien vivre pour soi et les autres. Ce qui suppose de comprendre, deuxième sempiternelle question, l’origine du Mal sur la terre. La réponse proposée est que la banalité du mal n’est que la banalité du désir humain, quand rien ne s’oppose à sa liberté. D’où la nécessité de ne pas faire confiance à l’homme seul, et, tâche difficile, de l’insérer dans le cadre de la démocratie.
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