Le mouvement de la pensée et la migration de l’être, sans cesse, font partie de la personne de Freud, comme cela devrait faire partie de la notre. Et surtout pas en identification, pire, en imitation. Disons : le trajet de Freud comme « roman de formation » de l’analyste… Extrait de : Le processus psychique et la théorie freudienne, Paris, collection « Études psychanalytiques », L’Harmattan, 1996.
Pages : 1 2