Joël Bernat : « Affirmation (Bejahung), négations et clivages »

Version revue et augmentée d’un article paru dans Libres cahiers pour l’analyse, n° 2.  : « Dire non ». Éditions In Press, Mars 2001, pp. 105-115.

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4 réponses à Joël Bernat : « Affirmation (Bejahung), négations et clivages »

  1. Jacques LIS dit :

    J’apprécie ce mouvement de la clinique, dans l’après-coup de la cure, qui met ainsi la théorie de l’analyste au travail. Et, d’une manière aussi profuse du côté de l’oeuvre freudienne. En même temps qu’une nécessaire liberté eu égard aux théories. Sans doute cette liberté est-elle la condition pour s’ouvrir à une clinique complexe.

    • Joel Bernat dit :

      notre capacité à être « bougé » par un patient ou par une théorie sont les garants, me semble-t-il, de ce qu’il se passe quelque chose. Mais c’est inconfortable… reste que pouvoir migrer comme disait Pontalis, de se promener dans le champ des conceptions est la garantie de ne pas « tomber » dans les doctrines…
      C’est une : opinion !

    • fernando mora dit :

      no existe una sola constitucion del sujeto en lo intencional y extensional sino no no todos fueramos psicoticos no existe el de la verite de lo dicho pues lo que se diga queda olvidado tras lo lo que se escribe siempre algo no no sera de no inscribirse en su tautologia mas de lo deontico u ontologico el sinthome es huella de la imposible uverdragnung del crimen cometido el psicoanalis no es dogma de fe ni asfericas u no esfericas las dichas escuelas no hay escolastica de la transmision si alguien acepta sentarse en la butaca esta no es la catedra de san pedro ni la tora del saber cabalistico de la interpretacion talmudica ser del des ser del infra/ sujeto analiste es una paradoja uptopica del sicut palea
      estiercol y numero de oro reinventar no es revicionismo ni fanatismo si no prudencia cautela conatancia y demasiada humilda ningun analista se muere sino la vispera paga su precio de haberlo sido

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