Gutachten über elektrische Behandlung der Kriegsneurotiker. Rapport rédigé à la demande de la commission parlementaire d’enquête sur les dommages de guerre, et lu par Freud le 14 octobre au cours de la procédure engagée à l’encontre du Pr Wagner-Jauregg ; celui-ci, d’abord accusé d’avoir employé des méthodes thérapeutiques barbares, fut finalement mis hors de cause. Le texte, découvert tardivement dans les Archives militaires de Vienne, a d’abord été publié en anglais dans l’International Journal of Psycho-analysis, 1956, 27, I, p. 16-18, puis en langue originale dans Psyché, 1972, 26, p. 939-951.
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Et Aujourd’hui…certaines personnes médecins « s’acharnent » à traiter des symptômes trop vite considérés comme pathologiques, relevant de la maladie mentale, en cherchant uniquement à les faire taire, enterrer, à l’aide de la panoplie existante de psychotropes, l’indication rapide (trop ?) en première intention des ECT , ce n’est peut être pas forcément étonnant que les personnes souffrantes rechutent à plus ou moins court terme, voir inefficacité totale,…., le tout neuro-biologique, presque toujours imposé et pensée unique, ce n’est pas l’expérience, l’histoire, les études qui manquent pourtant. Pourquoi ou pour quoi ?
Beaucoup de monde ne cesse de dire le pouvoir de plus en plus grandissant de la pharmacologie, non pas tant pour des réussites de traitement que pour le business.
Pire, le DSM auquel de plus en plus de monde et d’institutions se réfèrent… ce qui produit un morcellement de la psychopathologie.
Merci