Jacques WODA : « Le cri de la musaraigne »

La question du sens de la vie est autant sempiternelle que réelle. Surtout lorsqu’on la pose  aux  inimaginables abominations et injustices  de ce monde. Que faire ? Une  réponse est de vivre quand même, et d’agir en vue du meilleur bien vivre pour soi et les autres. Ce qui suppose de comprendre, deuxième sempiternelle question,  l’origine  du Mal sur la terre. La réponse proposée est que la banalité du  mal n’est que la banalité du désir humain, quand rien ne s’oppose à sa liberté. D’où la nécessité de ne pas faire confiance à l’homme seul, et, tâche difficile, de l’insérer dans le cadre de la démocratie.

Ce contenu a été publié dans Individu, sujet, identité, institution, masse, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Merci de taper les caractères de l'image Captcha dans le champ

Please type the characters of this captcha image in the input box

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.